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Repères biographiques

Fils unique de Rav Barouch, un des plus grands Rabbins de Meknès, et de la Rabbanit Rebecca, descendant de l’ « ange » Raphaël Berdugo, bien connue pour son dévouement et son immense énergie au service du Bien, Rabbi Rahamim Benamara naît en 1914 à Meknès (Maroc).

Après des études de magistrature, il est nommé juge à Mazagan.
En 1957, il est promu juge (Dayan) dans la grande ville de Casablanca où le Rabbin Shalom Messas préside la Cour Rabbinique.
Pendant les vingt années de mission passées à Casablanca, Rabbi Rahamim Benamara insuffle la vie à l’importante communauté juive de cette ville : il consacre tout son temps et toutes ses forces, jour et nuit, à œuvrer aux nombreux besoins de la Communauté, pour rapprocher les cœurs et les ramener vers les idéaux de la Torah avec Patience et douceur.
Il bénéficie dès lors de l’estime et de la sympathie de toute la Communauté, et plus particulièrement celles des faibles, des malades, des pauvres et des orphelins qui trouvent en lui un père, un soutien spirituel et matériel.

En 1975, âgé de 61 ans, il fait son « Alya » en Israël et réside pendant 2 ans à Beit Ha Kerem. Il est alors nommé Rabbin d’un large secteur de Jérusalem : Kiriyat Menahem, Ir Garim, Kiriyat Yovel…

En signe de considération et d’estime, il est inscrit 2 fois dans le livre d’Or du KKL (la 1ère par la Communauté juive du Maroc, puis par celle de Jérusalem).

Il prend sa retraite officiellement en 1989, âgé de 75 ans, mais ses activités ne s’arrêtent pas là, loin s’en faut !

Sa connaissance du terrain et des besoins réels l’amène à fonder des œuvres dont les buts sont :
- l’aide sous toutes ses formes aux personnes en difficulté (malades, orphelins…)
- le soutien matériel, moral et social pour les personnes âgées : encadrement dans une atmosphère conviviale et chaleureuse permettant de rompre leur isolement, d’épanouir leur dignité et leur spiritualité, tout en allégeant la charge de leurs familles aux prises avec de nombreuses autres préoccupations.

Il écrira en outre dix livres d’éthique juive, en hébreu et en français, dont les revenus sont consacrés intégralement à ses œuvres.

Evoquant ses œuvres, il s’exprime ainsi dans son TESTAMENT SPIRITUEL (Leet Metso, 1er Tome) :
“C’est donc le meilleur héritage que je puisse vous léguer. Il est véritable, éternel, et son mérite durable vous donnera bonheur et longévité, la bénédiction céleste au delà de toute mesure”...
Tous les détails concernant l’organisation de ces œuvres, la liste des noms de tous les membres de la Direction, de leurs assistants, de tous ceux qui participent régulièrement, de tous ceux qui les soutiennent, y compris leurs numéros de téléphone, sont inscrits dans le livre de ces Etablissements.
Les Directeurs dévoués qui aujourd’hui me secondent, toujours prêts à apporter leur aide dans toute affaire communautaire, ou activité de bienfaisance, sont Amram Hacohen et Maïmon Déry, que l’Eternel leur accorde longue vie, santé et prospérité.
Au cas où ils ne pourraient plus remplir leur fonction après moi, eux-mêmes chercheront à trouver des remplaçants, salariés ou bénévoles.
Ils trouveront beaucoup de personnes disposées à les aider…, et D. les récompensera.
Quant à vous, chers enfants, mobilisez tous vos efforts pour diffuser ces œuvres, les soutenir et les renforcer, car elles font partie des bases sur lesquelles repose le monde : la Torah, et la Bienfaisance. Ainsi vous serez récompensés, avec tous ceux qui y participeront, par une vie longue et prospère, heureuse et épanouie, et vous hériterez de tout le bien-être matériel et moral, Amen”.


Cette passion pour la Bienfaisance qui faisait partie de son être, lui fit surmonter bien des épreuves et notamment la maladie.
Il s’éteint sereinement le premier jour de Roch Hachana 2001 (18 Septembre 2001) après les prières et l’écoute du Chofar.


Porte du Mellah de Meknès

Grand Rabbin du Maroc
Grand Oncle de Rabbi Rahamim