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Poèmes en hommage à Rabbi Rahamim Bénamara Zatsal

Premier de Sion
Grand Rabbin d’Israël

Avec l’aide de D.
le 12 Tamouz Tachmah. (1988)

J’ai vu la première partie du livre « LEET METSO » (“A l’heure de vérité ”) qui est, comme le dit l’auteur dans son introduction, “un recueil écrit dans une langue claire -avec l’aide du Ciel qui nous accorde force et courage - par l’humble écrivain, moi-même Rahamim Bénamara”.
Et ceci est la vérité! “Son palais n’est que douceur, tout en lui respire le charme”.

C’est bien là notre auteur, son nom est aussi célèbre que le nom des grands Sages.
“Il étudia et enseigna son savoir ; il jugea avec équité les Tribus d’Israël”.

A l’étranger il était juge à la Cour de Justice rabbinique avec le grand Rabbin aimé et respecté de tous, le Gaon Rabbi Chalom Messas, grand rabbin et président de la Cour de Justice de Jérusalem.

Son âme souffrit à la vue de ceux qui ne savaient quoi dire en l’honneur d’un défunt, qui restaient muets ou qui, s’ils ouvraient leur bouche, ne prononçaient que banalités.
C’est pourquoi il décida, pour l’honneur des vivants et des disparus, de préparer ce dont ils avaient besoin “à l’heure propice” afin qu’ils sachent quoi dire et qu’ils comprennent ce qu’ils disent.

Ainsi fit Auteur si noble et tant estimé ; sa bouche délivre des pierres précieuses, homme de Bonté, riche en Torah et en grandes réalisations - le grand rabbin RAHAMIM BENAMARA - réputé en tant que grand érudit qui servit, comme nous l’avons dit, comme juge à l’étranger et aujourd’hui prodigue ses bonnes actions à Jérusalem comme rabbin et décisionnaire de deux quartiers de Jérusalem : Kiriat-Menahem et Ir-Ganim.

II a réalisé là un acte de bonté envers les vivants et les morts pour qu’ils ne soient pas offensés par les orateurs (voir dans Brachot 52).
Ainsi qu’il est rapporté dans le Choulhan Harouch (Yoreh Deah 51)”.

C’est une grande mitzvah de faire l’éloge du défunt de façon correcte, d’élever la voix et de raconter sur le défunt des choses qui réveillent le coeur pour provoquer les pleurs, de rappeler ses qualités et faire son éloge sans pour autant exagérer - ce qui est interdit - rappeler ses bonnes qualités en ajoutant quelque peu mais ne pas se laisser emporter à l’excès ; et s’il n’avait pas de bonnes qualités, alors il est préférable de ne rien dire...

Comme l’ont dit nos Sages : “Parlez avec ferveur envers moi, là où je me trouve” à savoir que tout le propos de cette Oraison est de réveiller les âmes, d’interpeller les cœurs, de provoquer le repentir et de s’inspirer des bonnes actions du défunt (voir dans Brachot p. 6).
D. veuille que la mort soit vaincue pour l’Eternité et que D. efface toute larme de tous les visages.

Amen Ainsi soit il.

Mordechai Eliahou

Premier de Sion
Grand Rabbin d’Israël